Sinon, pour récupérer tout ça et le mettre directement sur votre mp3, il suffit simplement de cliquer
là!
(et pour ceux qui n'auraient pas de logiciel de décompression type WinZip, c'est
ici)
Ari est un jeune frenchy signé sur le label Help Yourself de Jérémie Mondon aka
Demon (souvenez-vous, celui qui nous avait gratifié du tubesque
You Are My High en pleine vague French Touch il y a près de 10 ans). Des choeurs et des violoncelles, voilà ce qui distingue ce très réussi
HangOver Tears...

Sans jamais perdre des yeux le côté dancefloor que doit véhiculer sa musique,
Carsten Jost nous emporte dans un voyage lointain et improbable avec ce
You Don't Need A Weatherman to Know Which Way The Wind Blows (quel titre...) souvent repris des DJ que j'affectionne, Michael Mayer et Ellen Allien en tête.

Zdarlight, c'étaient eux: LE tube électro de l'année 2005.
Digitalism est un duo allemand parmi les plus gros vendeurs du label parisien Kitsune.
Digitalism in Cairo: c'est le titre de ce morceau que j'ai choisi sur leur album Idealism.

Il n'est pas rare que les remix soient meilleurs que les originaux. C'est particulièrement vrai dans le monde de la musique électro. Et parmi les remixeurs, de talent, il faut compter sur le duo
Extrawelt (qui du reste sont aussi de brillants producteurs). C'est lors d'un concert des Depeche Mode que je les ai découverts (même si les deux protagonistes n'étaient physiquement pas présent). En attendant Dave Gahan, Martin Gore et consorts, une musique entêtante avait fini d'électriser une foule prête à réserver une standing ovation aux dieux DM. Après une recherche minutieuse sur les forums spécialisés DM, j'avais alors pu retrouver les auteurs de ce son si lourd en infrabass que crachait l'énorme soundsystem installé ce soir là au POPB.
Extrawelt allait désormais enrichir ma collection de mp3! Ici un rmx de
Frog On The Run de
Fuzzion.
Gregor Tresher + Extrawelt = forcément du très bon son. Propulsé par le parrain de l'électro allemande Sven Vath, Tresher a le chic pour nous pondre régulièrement des EP dancefloor qui retournent la scène techno européenne.
A Thousand Night est un petit joyau que je ne me lasse pas d'écouter.
Let’s dance & listen to the beat !
Que dire de James Holden... Un petit génie de la minimale qui a réinvinté l'art du mix et donné un nouveau souffle à la scène club. Ses productions et ses compils sont tout simplement dantesques. Et en plus il a le nez creux puisqu'il ne signe que la crème des artistes electronica sur son désormais célèbre label Border Community. Tout ça alors qu'il n'a pas encore 28 ans. Je suis dégoûté... 10101 n'est qu'un tout petit échantillon de ce qu'est capable de réaliser le p'tit bonhomme.

Vous voulez tout oublier et planer au dessus de votre corps pendant quelques minutes ?
Lying in a bed of Mist de
Jesse Somfay est fait pour vous. Chacun des mixs de cet artiste canadien est un véritable voyage intersidéral qui ne vous laisse pas un instant de répit, mélange sublime de sonorités exotiques, de lignes minimales et de voix envoûtantes.

Une pincée de James Holden, un zest de Vitalic mais surtout une grosse louche de talent et de créativité maison, voilà pour brosser le portrait de
Kiko. Pionnier de la scène française en 95 sous le pseudo Phunky Data, Kiko est issu de la scène grenobloise qui nous a envoyé successivement The Hacker, Miss Kittin, Oxia... Excusez du peu. Ici,
Slave of my Mind. Une petite bombe.

Lindstrom, le pape du disco synthétique régale une fois de plus l'assemblée avec ce morceau
Another Station remixé par Todd Terje. Tout droit arrivé de sa Norvège natale avec sa (très) vaste culture disco sous le bras, Lindstrom nous livre ici une pépite aux accents funk qui n'est pas sans rappeler ses références Giorgio Moroder.

Parmi les protégés de James Holden sur le label Border Community figure
Nathan Fake. Plus easy listening que dancefloor, il signe en 2006 un album très remarqué au doux nom de Drawning In a Sea of Love.
The Sky was Pink est le morceau qui le sort de l'ombre en 2004. Planant, il vous garantit 5 minutes d'apesanteur. Promis, la prochaine fois je vous mets en ligne le remix endiablé de maître Holden qui a fait dansé tous les clubs d'Europe il y a 4 ans.

Quasi inconnu en France (le pays des Daft et des Justice n'ayant jamais réellement adhéré à la Trance et à la Deep House),
Sasha demeure pourtant l'un des 4 ou 5 DJ les plus reconnus au monde. Depuis plus de 20 ans, ce Gallois rempli en effet les clubs les plus mythiques de la planète. Mais rarement ceux de Paris... Dommage. Aussi bon derrière les platines que dans son studio, Sasha est assurément l'un des seuls artistes électro à produire des titres pouvant à la fois s'écouter seul dans son salon comme en communauté parmi 5000 clubbers. J'ai choisi ici
Magnetic North issu de son album Airdrawndagger, mais je vous l'avoue, cela aurait pu être un tout autre titre, son (énorme) répertoire ayant pour dénominateur commun les mots qualité, sensualité et mélancolie.

Duo Londonien naviguant entre minimale, acid techno et cold wave,
Swayzac devrait ravir celles et ceux qui ont encore quelques réticences à se plonger dans l'électro.
Another Way est extrait de leur album Loops From The Bergerie (enregistré en France dans une bergerie à quelques encablures de Perpignan!), paru chez !K7, l'un des plus célèbres labels berlinois.
The Mole - littéralement la taupe - voit loin, très loin même. As High As The Sky, le premier album de cet artiste canadien représente l'avenir de la musique électronique. Mystérieusement énergisant avec ses beats corrosifs, ses claps toniques et ses toms synthétiques,
Alice, You Need Him est un morceau groovy à souhait qui mériterait d'être partagé avec l'ensemble de ses copains "teufeurs" dans un immense entrepôt désaffecté, à l'heure où la France qui se lève tôt émerge pour une journée de travail.
Trentemoller fait aujourd'hui partie de ces artistes qui ont très rapidement réussi à graver leur nom sur l'Olympe de la scène techno mondiale, grâce à un son unique et des live-shows de folie. Vu l'an dernier au festival I Love Techno de Gand en Belgique, j'avoue quand même préférer me plonger seul dans ses maxis, mais surtout dans son album The Last Resort, onirique et intimiste à souhait. Ici, c'est
Miss You, dans une 2ème version remixée par le danois himself.