
Avec les parents qu’elle a eus, le papa batteur jazz et la maman chanteuse, Pip Brown, alias
Ladyhawke, baigne dans la musique depuis son plus jeune âge. Si cette Néo-Zélandaise commence par apprendre la batterie à 11 ans, elle se met ensuite à la guitare, à la basse et au synthé, rien que ça. A 16 ans, elle joue dans différents groupes de son école et à 18, installée à Wellington, elle créé le groupe Two Lane Blacktop. Les membres du groupe finissent par se séparer mais la jeune femme ne renonce pas et s’envole pour Melbourne. Là elle rencontre un certain Nick Littlemore qui lui parle du groupe Teenager et lui propose de l’intégrer en tant que guitariste. Elle accepte. Elle jouera quelques temps au sein du groupe mais peu à peu son projet personnel prend le dessus.
Teenager est derrière elle, place à Ladyhawke, et c’est avec Modular, label australien qui monte qui monte (Cut Copy, MSTRKRFT, Wolfmother, Yeah Yeah Yeahs, Klaxons, New Young Pony Club) qu’elle signe.
Son album éponyme nous donne toute l’ampleur de son talent et de son style fortement inspiré des années 80 avec tubes electro-pop entêtants. Magique, comme l’un de ses titres :
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