Bibio, quel petit nom sympatique ! L'Anglais Stephan Wilkinson, qui se cache derrière, l'aurait emprunté à la mouche préférée de son père utilisée à la pêche. Cet autodidacte livre un quatrième album kaléidoscopique surprenant (Ambivalence Avenue). On explore avec lui différentes teintes, tantôt folk, electronica, soul ou hip-hop. Un cocktail détonant, à savourer sans modération.
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